Textes édités par la librairie théâtrale
.https://www.librairie-theatrale.com/?s=claude+gisbert
3F/8H (Possibilité de doubler des rôles). Durée : 2h
Présentation de la pièce en 2017 à la SACD
L’histoire : Pendant la première croisade, un baron doit se rendre à Jérusalem pour délivrer le Saint Sépulcre. N’ayant pas la moindre intention d’aller guerroyer contre des innocents, ce baron s’arrange donc, en accord avec l’évêché, pour faire autant de fois le tour de son château qu’il y a de kilomètres pour aller à Jérusalem.
Accord qui lui permet de faire une croisade symbolique mais aussi (et surtout !) de ne pas payer ces multiples hypothèques, l’église remettant les dettes des croisés. Une fois la dérogation obtenue, il part, avec son fidèle serviteur à l’aventure… autour du château où ils entreprennent un voyage imaginaire, s’inventant une chronique théâtralisée pleine d’humour et de rencontres singulières… et poursuivis par le terrible usurier Lagatsi …
3 Sketchs pour 2H. Durée 1H
L’histoire : En 2019, un Comte désargenté, quinquagénaire flamboyant mais parfaitement inadapté à son époque est accompagné de son fidèle valet de pied, Victor.
Ensemble, ils font la manche dans le métro, puis attaquent une banque puis emprisonnés, préparent leur défense…
Joyeusement dépassés, ils échouent avec une allégresse profonde et une joie de vivre inébranlable…
7 Sketchs pour 2h. Durée 1h45
Présentation en lecture-spectacle au château de Valmousse en 2023
A-Propos : Il y a de cela quelques années, je fis la connaissance d’un comédien particulier. La bonne soixantaine, rondouillard, tête ronde, apparence lunaire, il dénotait des autres par une attitude fantasque profondément drôle et nullement fabriqué. Il était ainsi !
Sa caractéristique principale étant de débités des pensées absurdes et irrésistibles. Le ton sérieux était démenti par le propos farfelus qu’il exprimait en toute occasion. Le fond et la forme au service d’un humour cultivant la dérision.
Mon personnage de l’agent était né !
Pour le comédien, les inspirations étaient plus courantes …
4 Sketchs pour 3 H / Durée 2h
A-propos : Le plaisir, l’envie de s’amuser, de rire, de moquer – à l’occasion – quelques travers qu’il me semble avoir aperçu chez certains de mes proches, sont les principales sources ayant motivé l’écriture de ces sketchs.
Vous y trouverez deux joueurs d’échec d’une mauvaise foi à toute épreuve, un capitaine de gendarmerie s’initiant à la psychanalyse pour aider l’un de ses subalternes en proie à une dépression, un père, comédien célèbre, vantant le talent de son jeune fils…souverainement idiot, trois cambrioleurs s’improvisant nounou pour s’occuper d’un nouveau-né…
4 H. Durée : 1h 45 (Présenté au festival du Mois Molière 2022).
Quatre copains comédiens, plus gaffeurs que combinards, décident, à la suite du second confinement (novembre 2020) de « réinventer » leur métier d’acteurs en s’adaptant à la nouvelle donne que leur impose le gouvernement .Ne se considérant pas encore comme non essentiels, ils décident donc sur les conseils D’Emmanuel Macron lors d’une interview, « d’enfourcher le tigre » de réinventer leur métier et de passer de la scène à la vidéo. Découvrant même, suite à cette nouvelle situation, une sorte d’enthousiasme à l’idée de partir à la conquête des réseaux sociaux…
2F/5H. Durée : 1h 45
Edition : http://www.librairie-theatrale.com/11942-suite-anglaise.html
Plusieurs compagnies l’ont représenté : https://www.youtube.com/watch?v=Y2wGMgPOjPE
L’histoire : Edgar, escroc minable, veule et maladroit, décide de faire chanter un homme d’affaire important, qui a une liaison avec une femme mariée.
Mais le maître chanteur s’emmêle les pinceaux et, sans le vouloir, dévoile tout au mari trompé.
Pris de rage, celui-ci tue le pauvre Edgar, qui doit faire face à ses juges divins.
Rusé, Edgar réussit à négocier son retour sur terre pendant 24 heures, pour éviter l’enfer.
Sa mission : sauver l’épouse des griffes du mari en colère.
(Monologues) :
Edition : Mon petit éditeur.
2004 : Seul en scène. Représentation au centre Daviel
Extrait : « L’histoire est toute simple : je me trouvais dans un café assez huppé du côté du Luxembourg, dégustant quelques alcools et profitant avec une morfale avidité d’un luxe que mes inactivités ô combien foisonnantes ne peuvent que très occasionnellement m’offrir. J’étais donc dans ce bar assez chic quand je fus intrigué par une ravissante jeune femme qui toute fébrile, regardait passer les messieurs solitaires. Très vite je compris qu’elle avait rendez-vous avec un type qu’elle ne connaissait pas, un rendez-vous probablement galant voire romanesque. Ah ah ! Un rendez-vous romanesque ? Mais il n’y a pas plus romanesque que moi ! Et fin et délicat et raffiné… »
« LES MÉMOIRES D’UN VALET DE PIED » de William M. Thackeray (Théâtre de la Reine Blanche)
« JACQUES LE FATALISTE ET SON MAÎTRE » de Diderot (Théâtre Douze)
« LE NEVEU DE RAMEAU » de Diderot (Théâtre Essaïon))
« L’HYGIENE DE L’ASSASSIN » d’Amélie Nothomb (Librairies, galeries…)
« L’ARRACHEUSE DE DENTS » de Franz-Olivier Giesbert (En projet de mise en scène !)
« L’arracheuse de dents » a été validée par l’auteur et est soutenue par Gallimard
En janvier 2020, je croise Philippe Caubère et lui glisse un de mes textes « L’interview ou le retour du fils prodigue » deux jours plus tard, il me rappelle pour me dire mille gentillesses sur mon texte. Nous parlons d’une éventuelle lecture en public…
Avril 2020 : Jean-Philippe Daguerre, l’auteur de « Adieu Monsieur Haffmann » (merveilleuse pièce, récompensée aux Molières en 2018) me renvoie un petit mot après avoir lu plusieurs de mes textes : « Bravo Claude pour ton écriture gourmande, drôle et poétique à consommer sans modération »
Remarque de M. Peter Barnouw, directeur de la culture de Châtenay-Malabry, au sujet d’une représentation en lecture-spectacle d’un texte que j’ai écrit :
Cher Monsieur Gisbert,
C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai assisté, le 8 mars dernier (2017), à une représentation de votre lecture-spectacle : La Croisade Héroïque.
Vous avez réussi, avec l’aide de vos comédiens, de rendre vivante, une lecture laquelle au prime abord, aura pu sembler rébarbative mais votre direction des acteurs et l’enthousiasme manifeste de la troupe a fait que le public pouvait, d’ores et déjà, imaginer une mise en scène complète.
Mon avis en vaut d’autres, bien évidemment mais, en cas de besoin, vous pouvez I’utiIiser. Je vous souhaite un succès bien mérité avec cette production.
Je vous prie de croire, cher Monsieur, en l’expression de mes salutations les meilleures.
Peter Barnouw
Voici quelques remarques sur les sketchs du cri de l’Ôtruche (créé en 2007 au Tambour Royal) :
Little Bear (la production de Bertrand Tavernier) : … « C’est avec un réel plaisir que nous l’avons lu, c’est très bien écrit et vous jouez habilement du mélange des registres : les parodies ont un ton propre à l’époque choisie, une écriture « à la manière de » que vous avez su émailler d’expressions évidemment anachroniques, modernes, argotiques. Ces jeux de langage, le cocasse et l’absurde qui surgissent souvent, l’insolence aussi participent de notre plaisir … »
Philippe Torréton :… « Esquisses (rebaptisé : le cri de l’Ôtruche) est très drôle et je pense que le rendu en scène doit être enthousiasmant à jouer et à regarder… »
Jean-Hervé Appéré : (Metteur en scène, spécialiste de Commedia Dell’arte) : Je les ai lus… Tu as une vraie patte, c’est très drôle et bien écrit… ces courtes scènes nous mettent l’eau à la bouche… »